Communiqué de presse du mercredi 12 avril 2023
Contact presse : Rachid Belhadj 05 57 57 02 75 / presse@nouvelle-aquitaine.fr Télécharger le communiqué de presse CP-HebergementSaisonniers-SP-27032023.pdf (PDF) |
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Publics concernés
Association , Entreprise , Exploitant , GIE – Groupement d’intérêt économique
Domaines secondaires
Filières, Agroalimentaire, Agriculture, Pêche, Bio
Fin de dépôt de dossiers
30 juin 2023
Votre structure souhaite mettre en place un Signe Officiel de la Qualité et de l’Origine (SIQO) ou une démarche qualité : le présent appel à projets vous permet de présenter votre programme d’actions à la Région et de déposer votre demande d’aide.
Accompagner les filières de la Nouvelle-Aquitaine tout en répondant aux besoins de la société, des consommateurs et du marché via une politique de développement de la qualité et de promotion des produits agricoles et denrées alimentaires.
Dates limites dépôt des dossiers
Pour les filières agricoles et agroalimentaires
Pour les filières pêche et aquaculture
Le taux maximum de 70 % du coût des dépenses éligibles concerne les opérations mises en œuvre par :
Le taux maximum de 60 % du coût des dépenses éligibles concerne les opérations mises en œuvre par des organisations de pêcheurs ou par d’autres bénéficiaires collectifs.
Les critères requis pour le soutien des actions :
Dépôt des dossiers de candidature auprès la Région Nouvelle-Aquitaine ou sur le site Europe en Nouvelle-Aquitaine, selon le dispositif.
Les modalités figurent en page 5 de l’appel à projets à télécharger ci-dessous.
Pour toute demande d’informations, utiliser le formulaire ”Contactez-nous” ci-dessous.
Documents à télécharger
APPEL À PROJETS (PDF 258.41 Ko)
FORMULAIRE DEMANDE (DOC 726 Ko)
Service Relation aux Usagers
Direction de l’agriculture des IAA et de la pêche
0549384938
Du lundi au vendredi de 9h à 18h sans interruption
Le Baromètre SOWINE/Dynata 2022 propose une analyse complète des tendances de consommation de boissons alcoolisées en France, en se focalisant sur le vin, le champagne, les spiritueux et les bières. Le rapport fournit des informations précieuses sur les profils des consommateurs de vin et spiritueux en France, leurs habitudes d’achat et de consommation, ainsi que leurs préoccupations lors de l’acte d’achat. En outre, le rapport examine l’impact du digital sur l’acte d’achat et la perception des vins et spiritueux.
On apprend notamment que :
Les vins tranquilles sont davantage appréciés par les générations plus âgées, avec un écart de 28 points entre les 18-25 ans et les 60-65 ans. En outre, il est intéressant de noter que la connaissance du vin a progressé en France au fil des ans, avec 47% des Français se considérant aujourd’hui comme des amateurs éclairés en 2022, contre 35% en 2010. En effet, la part de néophytes a diminué, tandis que celle des amateurs éclairés et des connaisseurs/experts a augmenté.
Bordeaux, Bourgogne et Champagne sont les trois régions viticoles les plus plébiscitées par les consommateurs de vins français, indépendamment de leur niveau de connaissance. Bordeaux est particulièrement apprécié par les amateurs éclairés et les connaisseurs/experts, avec un taux de 48% pour les deux groupes.
En 2022, le budget moyen consacré à l’achat d’une bouteille de vin continue d’augmenter :
Cette tendance est encore plus marquée chez les personnes intéressées par le monde du vin, qui allouent un budget moyen plus important à l’achat d’une bouteille de vin.
75% des acheteurs de vin choisissent exclusivement des bouteilles mais 25% des Français commencent à se tourner vers d’autres types de conditionnement. Cette tendance est plus forte chez les hommes (29% contre 20% chez les femmes) et les 18-25 ans (30% contre 19% chez les 50-65 ans). Les autres conditionnements privilégiés sont le BIB (Bag-in-Box) à 62%, le vin en vrac à 25% et le vin en canette à 21%.
Lors de l’achat de vin conditionné hors bouteille, le prix est l’élément de choix le plus important pour 58% des acheteurs, suivi du volume (37%), de la qualité (33%) et de la praticité (31%).
Le monde du vin se digitalise ; Instagram est aujourd’hui la plateforme la plus engageante dans le secteur des vins et spiritueux, avec 32% des utilisateurs qui y suivent des domaines, des châteaux, des marques ou des producteurs de vin. Les consommateurs français s’intéressent de plus en plus à l’univers des vins et spiritueux et sont curieux de découvrir de nouveaux artisans et savoir-faire.
Les habitudes d’achat ont largement évolué depuis la pandémie :
Les Français redécouvrent ensemble la bière
Les Français, les spiritueux et la mixologie : un cocktail qui fonctionne
Les nouvelles tendances de l’univers des vins et spiritueux
Les labels environnementaux
L’outil Ges&Vit permet de mesurer les émissions de Gaz à Effet de Serre depuis la plantation jusqu’à la récolte du raisin. Il est conçu pour être utilisé principalement par les conseillers ou les responsables vigne des coopératives.
L’Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV) a présenté Ges&Vit, un outil destiné à aider les viticulteurs à répondre à la Stratégie Nationale Bas-Carbone et à son objectif de neutralité carbone d’ici 2050.
« Cet outil permet de diagnostiquer les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) de l’atelier viticole jusqu’à la récolte du raisin, périmètre constituant environ 20 % des émissions de GES du secteur, de comparer différents modes de conduite, de réaliser des simulations de modifications de pratiques, comme le passage du broyage de sarments tous les rangs au broyage un rang sur deux, et d’évaluer un plan d’action de réduction de ces émissions » explique Sophie Penavayre, du pôle expertise environnementale de l’IFV, à l’occasion d’un webinaire, ce 23 mars.
Pour lire l’article complet, rendez-vous sur le site de Vitisphère
Cette étude d’image des produits alimentaires français auprès des consommateurs internationaux, financée par le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire dans le cadre de la campagne Taste France BtoC, porte sur 9 marchés clé pour l’export : le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Espagne, le Canada, les Etats-Unis, le Japon, la Chine, Hong-Kong et les Emirats Arabes Unis.
Jusqu’ici 100 % blanche, l’appellation bordelaise Entre-deux-Mers vient d’être validée dans sa déclinaison rouge et ses ambitions de montée en gamme. Projet de crus à l’appui.
Ne pas produire plus de vins rouges à Bordeaux, mais mieux. C’est l’un des objectifs de la nouvelle déclinaison rouge de l’appellation Entre-deux-Mers : voté ce 7 février par le comité national des appellations d’origine relatives aux vins de l’Institut National de l’Origine et de la Qualité (INAO), le cahier des charges est désormais en cours de procédure nationale d’opposition (pour deux mois). Si le premier millésime d’Entre-deux-Mers rouge sera produit en 2023…
La Région Nouvelle-Aquitaine est la première région agricole, aquacole et agroalimentaire de France (en termes de valeur et d’emploi). C’est pourquoi, l’Union européenne souhaite accompagner les acteurs des différentes filières dans les actions de promotion et de communication.
Cet appel à projets vise à mettre en œuvre la stratégie régionale de communication et de promotion des produits agricoles, agroalimentaires, aquacoles et issus de la pêche de qualité. A terme, il devra permettre :
Toutes les actions visant à la promotion des filières agricoles, agroalimentaires, aquacoles et pêche seront éligibles :
Télécharger le contenu de l’appel à projets
Cette aide est attribuée sur les crédits 2014-2020.
Vous devez remplir et envoyer :
le formulaire de demande d’aide FEADER
Pour vous aider à la remplir, une notice d’aide est disponible.
Vous pouvez directement déposer mon dossier sur “Mes démarches en Nouvelle-Aquitaine” :
Annexe pour l’organisation d’événements de promotion
Annexe par la participation à des événements de promotion
Annexe “actions de communication”
Une première enveloppe de 57 millions d’euros serait débloquée par l’État (2/3) et l’interprofession des vins de Bordeaux (1/3) pour financer l’aide à l’arrachage sanitaire des vignes en production n’ayant pas d’avenir économique. Des fonds de reconversion européens gérés par la région pourrait compléter l’aide, s’approchant ainsi des 10 000 €/ha demandés par des viticulteurs.
Dans quel cas un vigneron peut-il étiqueter « vin en conversion vers l’agriculture biologique » ? Quid des achats de parcelles non bio ? De la disponibilité des greffons et porte-greffes ? Des contaminations aux phosphonates ? Réponses avec Olivier Nasles, président du Comité national de l’agriculture biologique.
L'info à ne pas rater : rencontres d'acheteurs internationaux à Bordeaux #GBM2025
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