Le Lab Alimentation Nouvelle-Aquitaine Menu Fermer Fermer

La French AgriTech va bien

Au programme :

  • La stratégie agricole de France 2030
  • Les lauréats Agri de la French Tech 2030
  • L’avenir de l’agriculture dans la Tech


Malgré diverses difficultés, comme le changement climatique, la critique envers l’agriculture, et les perturbations du commerce international dues à la géopolitique, le secteur agricole en France résiste remarquablement bien. Les agriculteurs se distinguent souvent par leur esprit d’innovation, prouvant qu’ils sont bien plus méritants que les descriptions négatives qui leur sont parfois attribuées. La French AgriTech se porte bien et s’intègre parfaitement dans la transition économique du pays. Le programme French Tech 2030 soutient ainsi les nouveaux acteurs des principaux secteurs économiques, et parmi les lauréats de la première promotion en juin 2023, 21 entreprises appartiennent à l’AgriTech.

LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

Plan d’arrachage dans le vignobles de Bordeaux : clôture des pré-candidatures avec 1000 dossiers enregistrés et 300 demandes de cessation d’activité

Face à la crise économique actuelle, de nombreux exploitants se retrouvent dans des situations précaires et ne peuvent plus entretenir leurs vignes. C’est dans ce contexte que l’Etat, la filière des vins de Bordeaux et la région Nouvelle-Aquitaine se sont mobilisés pour la mise en place conjointe d’un plan d’arrachage sanitaire. L’objectif : prévenir les maladies des vignobles telles que la flavescence dorée et favoriser la restructuration du secteur en réduisant les volumes de production.

Le dépôt des dossiers de pré-candidature s’est effectué sur la plateforme dédiée le 17 juillet dernier. Cette première phase a permis de recueillir plus de 1000 dossiers d’exploitants exerçant dans le vignoble bordelais dans le cadre de la prime à l’arrachage de 6000 euros par hectare : ils représentent 20% des viticulteurs girondins. Parmi eux, 300 viticulteurs ont déclaré vouloir cesser cesser leur activité viticole.

57 millions d’euros

Marc Fesneau a signé le plan d’arrachage le 5 juin dernier à SalleBoeuf afin de permettre l’arrachage de 10% des surfaces du vignoble bordelais. L’enveloppe globale s’élève à 57 millions d’euros : 30 millions financés par l’Etat,19 millions par l’interprofession, 10 millions par la région Nouvelle-Aquitaine via les fonds FEADER. Le dépot final de la demande d’arrachage est prévu à la mi-septembre et l’éligibilité doit se positionner à l’automne pour des premiers paiements à partir de la fin d’année 2023. La campagne d’arrachage est prévue en automne, après les vendanges.

LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

Le marché du foncier agricole s’est stabilisé en Nouvelle-Aquitaine

En 2022, le marché du foncier rural a marqué un palier après une année 2021 en forte hausse. Le foncier rural non agricole connait un retrait marqué qui pèse très lourd sur l’ensemble des transactions à cause du poids énorme des maisons de campagne dans les échanges. Quant au GPSO, son démarrage n’est pas encore perceptible à l’échelle du foncier.

LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

Le vignoble bordelais en proie au mildiou après la météo « tropicale » de juin

La chaleur et les orages des dernières semaines ont fait prospérer le mildiou dans les vignes du Bordelais, hypothéquant une partie des récoltes à venir, selon des professionnels interrogés lundi par l’AFP. Avec des impacts très variable d’une appellation à l’autre au sein d’un vignoble déjà très fragilisé.

LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

Plan national de distillation des excédents spiritueux

160 millions d’euros et 3 millions d’hectolitres

Les demandent vont au-delà le l’enveloppe allouée de 160 millions d’euros : ce ne sont pas 3 millions d’hectolitres mais 4.4 millions restant à distiller, dont un million dans le bordelais.

“Il faut qu’on calibre bien les demandes de distillation par rapport au mildiou” selon Marc Fesneau, évoquant les potentielles mauvaises récoltes.

Le dispositif d’aide à la distillation est en principe validé au niveau européen. L’appel à manifestation d’intérêt est ouvert depuis le 22 juin.

LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

Financez la transition et la transmission de votre foncier agricole

La Banque des Territoires accompagne des dispositifs (foncières, fonds de portage) de soutien à la transmission d’exploitations et la transition vers des pratiques durables.

Vos objectifs pour la transition agricole

  • Faciliter l’installation de nouveaux agriculteurs, et notamment les installations hors cadre familial ;
  • Contribuer à la transition des activités agricoles vers des modèles plus durables (agriculture biologique, agroécologie, etc.) et moins dépendants aux intrants chimiques, et ainsi favoriser la préservation de la biodiversité, de la ressource en eau et le stockage du carbone.

Pour qui ?

  • société d’économie mixte (SEM) ;
  • structure de l’économie sociale et solidaire (ESS) : société coopérative d’intérêt collectif (SCIC), association ;
  • fonds d’investissement à impact ou à vocation d’utilité sociale.

Pour quoi ?

  • un dispositif de portage moyen ou long terme de foncier agricole à destination d’investisseurs institutionnels, afin d’accompagner la transmission des exploitations et la transition des pratiques agricoles.
  • un capital patient tout en garantissant une liquidité et une rémunération pour les souscripteurs. Vous vous engagez à mesurer et présenter un compte-rendu précis des impacts extra-financiers du dispositif.
LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

L’ADEME lance son appel à projets dédié aux offres touristiques durables émergentes

Jusqu’au 23 octobre 2023

Soutenir par l’investissement et l’ingénierie le développement d’offres touristiques durables émergentes s’inscrivant dans une démarche de slow tourisme ou d’écotourisme : c’est l’objectif porté par l’appel à projets “formes émergentes de tourisme” du Fonds Tourisme Durable de l’ADEME, ouvert aux porteurs de projet jusqu’au 23 octobre prochain.

Développer le slow tourisme et l’écotourisme

Le Fonds Tourisme Durable de l’ADEME a annoncé le lancement de son appel à projets “formes émergentes de tourisme”, qui vise à développer des offres touristiques appartenant par exemple à l’agritourisme, à l’œnotourisme, au tourisme culturel ou encore au tourisme de plein air. Cet appel à projet permettra aux lauréats d’être soutenus via des subventions à l’investissement et à l’ingénierie dans le développement d’offres touristiques durables émergentes, conçues dans une démarche de slow tourisme ou d’écotourisme.

Ouvert jusqu’au 23 octobre prochain, à 14 heures, celui-ci s’adresse à des TPE et PME en activité ou en création, installées sur le territoire français. Celles-ci devront toutefois être installées dans des communes éligibles au Fonds Tourisme Durable (dont la liste est disponible ici), ne pas avoir bénéficié d’aides dépassant la barre des 200 000 € au cours des trois exercices précédents, être éligibles aux aides d’État et ne pas être considérées comme des « entreprises en difficulté ».

Conditions d’éligibilité

L’appel à projet lancé par l’ADEME soutiendra des projets visant à développer de nouvelles offres ou à améliorer et valoriser des offres existantes, qu’elles relèvent du slow tourisme ou de l’écotourisme. 

Pour être éligibles, les projets devront s’inscrire dans une démarche de tourisme durable et responsable, en obéissant aux principes suivants :

  • S’inscrire dans l’économie locale et valoriser les productions du territoire ;
  • Porter une ambition environnementale forte ;
  • Intégrer des offres à destination du plus grand nombre de visiteurs et incluant les populations locales ;
  • S’articuler autour d’une gouvernance intégrée, ascendante, collaborative et multipartenariale ;
  • Anticiper la pérennité de l’activité touristique dans le temps et s’intégrant dans le territoire.

L’accompagnement financier accordé aux projets lauréats pourra porter sur :

  • Une mission d’assistance en ingénierie ;
  • Des actions en lien avec la transition écologique ;
  • Des dépenses de petits équipements en lien avec le projet ;
  • Des actions d’animation, de formation et de communication ;
  • Des frais de personnel.

Les projets lauréats bénéficieront d’un accompagnement financier sur une durée maximale de 18 mois. Ils seront financés au maximum à hauteur de 50 % des coûts du projet, avec un plafond fixé à 200 000 € d’aide par projet, dans la limite du cumul des aides publiques.

Informations pratiques

LA SUITE DE CET ARTICLE EST RESERVE AUX MEMBRES

Flash actu

L'info à ne pas rater : rencontres d'acheteurs internationaux à Bordeaux #GBM2025

En savoir plus