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Coût de l’énergie, la filière céréalière alerte

Un article publié sur le site www.entraid.com.

La filière céréalière française subit, elle aussi, la hausse des coûts de l’énergie et s’inquiète des incertitudes que cela génère. Intercéréales, l’interprofession de la filière alerte.

La filière céréalière n’est pas en reste. En effet, la hausse des prix de l’énergie constatée ces derniers mois et les incertitudes sur les possibilités d’approvisionnement inquiètent les acteurs de la filière céréalière.

Une hausse des prix de l’énergie déjà remarquée

« Le mur actuel des prix de l’énergie ne sera pas franchi dans les semaines qui viennent. Et ce, pour beaucoup d’entreprises de la filière, alerte Jean-François Loiseau, président d’Intercéréales, l’interprofession…

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En bio, les agriculteurs européens peuvent désormais choisir leurs semences

photographie illustration

Un article publié sur theconversation.com.

Depuis le 1er janvier 2022, une nouvelle réglementation européenne s’applique pour les producteurs en agriculture biologique. Elle concerne différentes dimensions de la production (bien-être animal, harmonisation des exigences pour les produits importés), mais surtout de nouvelles mesures favorables à la production de nouvelles catégories de semences adaptées à l’agriculture biologique, grâce à l’autorisation de leur commercialisation…

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Photographie de la filière viande bovine de Nouvelle-Aquitaine

La Nouvelle-Aquitaine est 1ère région par son cheptel bovin viande. Ces derniers sont présents dans un tiers des élevages régionaux et alimentent de nombreuses entreprises régionales allant du commerce du bétail, à la distribution, en passant par l’abattage, la découpe et la transformation, sans oublier les exportations.

Afin d’apporter des éléments d’éclairage sur la réalité et les évolutions de ces dernières années de notre production bovine, INTERBEV Nouvelle-Aquitaine propose un document synthétique ci-dessous.

Contact : INTERBEV Nouvelle-Aquitaine – 60 avenue du Peyrou – 33370 Artigues-près-Bordeaux
Tél : 05 57 85 40 10

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Pourquoi la France a perdu 2 millions de bovins en 5 ans ?

Si l’élevage bovin est l’une des plus significatifs de notre patrimoine agricole, les exploitations du pays ont perdu 463 000 bovins depuis 2021 et 2 millions depuis 2017.

Comment expliquer cette importante baisse des troupeaux ?

Races laitières et races à viandes sont toutes deux concernées : il reste 17 millions de bovins en France.

Pourquoi ?

Si l’on parle de la tendance vegan, elle n’est pas la cause de baisse du nombre de têtes. Ce sont plutôt les coûts et les difficultés de production qui sont à l’origine de cette perte. Les prix d’achats souvent insuffisants qui ne permettent pas aux éleveurs de faire leur marge sont aussi cités. Ce contexte a entraîné la fermeture de 100 000 fermes en 10 ans, à laquelle s’ajoutent la reconversion vers les grandes cultures, plus rentables que l’élevage.

Les difficultés climatiques

La sécheresse a eu des répercussions très importantes sur les cultures : faute de pouvoir nourrir les vaches, les producteurs ont fait le choix de diminuer les troupeaux.

L’exportation en hausse

La France était autrefois un producteur incontournable de viande : aujourd’hui 25% est importé depuis chez nos voisins belges, allemands, luxembourgeois ou encore espagnols qui seraient moins concernés par les difficultés de rémunération que les producteurs français.

La seule solution : les prix doivent remonter pour pérenniser nos élevages.

Pour lire l’article complet sur le site de RTL2 : https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/agriculture-pourquoi-la-france-a-perdu-2-millions-de-bovins-en-cinq-ans-7900185516

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La filière moutarde bio prend de l’ampleur en Limousin

Alors que la pénurie touche le secteur, une filière moutarde bio se développe entre la Creuse et la Haute-Vienne. Les surfaces de plantation vont même doubler cette année. 

Les étals des supermarchés en sont tristement privés. Plus un pot à l’horizon. La moutarde a disparu. Partout ? Non ! En Limousin, la filière lancée il y a 9 ans arrive à maturité. De 250 hectares l’an dernier, la surface de moutarde semée dans la région passe à 500 hectares cette année. La récolte va débuter dans quelques semaines et s’annonce plutôt bonne. De quoi réapprovisionner bientôt les étals. 

La filière est née de la rencontre des entreprises AB développement et Delouis. La première est basée à Maisonnisses en Creuse, la seconde à Champsac en Haute-Vienne. Elle produisait déjà de la moutarde il y a une dizaine d’années, mais les graines étaient intégralement importées de l’étranger, notamment du Canada.  

« L’idée, en montant cette filière, c’est de ramener la valeur ajoutée sur le territoire. Nos emplettes sont nos emplois, c’est du BSP (bon sens paysan). La société affiche des produits bio à son catalogue depuis 35 ans. Plutôt que de faire travailler des agriculteurs à l’autre bout du monde, nous avons voulu faire vivre ceux d’ici. La relocalisation, c’est un travail de longue haleine, c’est compliqué et heureusement, sinon tous nos concurrents l’auraient déjà fait » .

Gaël Brabant, patron de Delouis depuis 2004

Pour visiter le site internet : https://www.delouis.com/ 

Crédit : © Christian Watier / MAXPPP 

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La filière du Pruneau d’Agen – Rapport 2022

Retrouvez toutes les informations d’actualités de l’Interprofession et du Syndicat du Pruneau d’Agen ainsi que les chiffres clés de la filière dans le rapport annuel de 2022.

  • 936 exploitations prunicoles réparties dans 8 organisations de producteurs.
  • 72 transformateurs de pruneaux dont les 10 concentrent > 90 % des volumes.
  • 11 370 hectares dont 9 503 productifs (83,6%).
  • 19,2 % en conduite biologique (2 183 hectares).
  • Surface moyenne d’une exploitation prunicole = 12,5 hectares.
  • 24 ans, c’est l’âge moyen des vergers. Qui a dit que le pruneau était réservé aux seniors ?
  • Rendement moyen 2020 = 4960 kg / ha en conventionnel, 3255 en bio
  • Chiffre d’affaires agricole = 70 millions d’€ ; CA industriel = 140 millions d’€
  • Récolte 2020 = 37 765 tonnes (dont 4100 en bio). Récolte 2021 = 16 400 tonnes soit près de 70 % de pertes par rapport au potentiel de récolte en raison de l’épisode de gel.
  • La France est le 3ème producteur mondial derrière le Chili et les Etats-Unis.
  • Le top 3 concentre 90 % de la production mondiale de pruneaux !

Pour télécharger le rapport complet 2022, cliquez ici

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Interbev : interprofession d’accompagnement et de sensibilisation

INTERBEV est une interprofession qui intervient comme un véritable porte-parole de la filière bétail et viande. INTERBEV dispose d’une représentativité large pour porter la voix de tous les professionnels bovins, veaux, ovins, équins et caprins dans de nombreuses instances, tant nationales qu’internationales.

INTERBEV se doit de définir des positions communes aux 20 organisations nationales qui la composent. Elle met en œuvre des outils réglementaires et des démarches Qualité (accords interprofessionnels, cahiers des charges, guides …)  accompagner les acteurs de la filière dans l’amélioration continue de leurs pratiques. Elle structure l’ensemble de ses engagements sociétaux sur l’environnement, la protection animale, la nutrition-santé, les avancées sociales et économiques dans une démarche de responsabilité sociétale collective.

INTERBEV déploie également des programmes de communication institutionnelle et grand public d’envergure, ayant trois objectifs :

  • valoriser la filière, ses métiers et ses Hommes ;
  • valoriser les viandes de bœuf, de veau, d’agneau, de chevreau et chevaline ;
  • rétablir ses vérités là où se forme l’opinion et où se noue le débat.

Ces programmes de communication ont été conçus et mis en place afin d’établir que la filière de l’élevage et des viandes rassemble des professionnels passionnés et forts de leur savoir-faire, qui élaborent des produits de qualité indispensables à la vitalité de nos campagnes et à l’équilibre alimentaire des consommateurs.

Effectivement, les français cherchent de plus en plus à consommer et à manger « mieux ». Pour les viandes, cela passe par une consommation raisonnable, dans le cadre d’une alimentation équilibrée riche en végétaux mais aussi par la recherche de viandes d’une qualité gustative supérieure dont le mode de production répond à leurs attentes : respect des animaux et des hommes, préservation de l’environnement, maintien de la sécurité sanitaire tout au long de la chaîne, proximité, traçabilité…

INTERBEV s’attache à favoriser la mise en œuvre de ce « mieux », avec des études, sur les aspects nutritionnels, sanitaires et organoleptiques notamment, avec la mise à disposition d’informations précises et techniques sur ces sujets et avec la diffusion d’outils à destination des professionnels de la filière et des consommateurs pour les informer sur ces sujets.

  • Favoriser une consommation équilibrée et raisonnable de viande
  • Préserver la sécurité sanitaire des produits :
  • Mieux comprendre les relations entre la consommation de viande, les apports nutritionnels et la santé 

Cliquez ici pour consulter l’infographie sur le site internet d’INTERBEV. 

 

Pour plus d’information : 

Rendez-vous sur les sites internet d’INTERBEV et du CREDOC.

 

Contact :

Marie Guilbert, directrice

INTERBEV NOUVELLE-AQUITAINE

05 57 85 99 78

m.guilbert@interbev-nouvelleaquitaine.fr

©INTERBEV

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Vendre du vin et des produits alimentaires au Japon

Les produits d’épicerie fine et les vins français sont toujours très demandés par le consommateur japonais. Le marché a évidemment été impacté par la crise sanitaire et est actuellement « figé » par les Jeux Olympiques. On peut compter sur un essor des exportations françaises à très court terme. La tendance est plus que jamais au BIO.

Vendez vos produits BIO aux importateurs japonais via le projet européen : « EUfood2japan » : vos produits sont promus gratuitement via une plate-forme web (catalogue en ligne) en japonais et par un agent commercial après des professionnels japonais.

Découvrez ici les produits recherchés.

 

Pour plus d’informations : 

Rendez-vous sur le site internet de EUfood2japan

 

Contact :

Valérie MANDON –  Conseillère d’entreprise

Chambre de commerce et d’industrie  (CCI) – Limoges

06 43 69 55 77

valerie.mandon@limoges.cci.fr

©EUfood2japan

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Synthèse de l’étude sur la filière Ovine

Menée par la Chambre d’Agriculture de la Gironde

Les objectifs spécifiques de l’étude s’organisent autour de :

  • La détermination de la plus-value des signes de qualité,
  • L’évaluation de la durabilité des exploitations agricoles engagées dans la démarche qualité.

C’est la méthode IDEA qui a été utilisée car ce travail a été réalisé à l’échelle d’une exploitation.

La méthode Indicateurs de Durabilité des Exploitations Agricoles (IDEA), est une méthode de diagnostic pour rendre de compte de la durabilité des exploitations agricoles. Elle évalue la performance globale d’une exploitation agricole (c’est-à-dire son niveau de durabilité) selon deux approches complémentaires : les trois dimensions de la durabilité et les cinq propriétés d’une agriculture durable.

Accéder à l’étude dans son intégralité

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